Les Négresses Vertes
200 ans d'hypocrisieQuoi ! cette horde anthropophage
Que l'enfer vomit de son flanc
Prêche le meurtre et le carnage
Elle est couverte de ton sang
Devant tes yeux, de la patrie
Elle assassine les enfants
Et médite une boucherie
Digne de tes représentants
La nature avec vous conspire
Contre tous les conspirateurs
Partout la Tyrannie expire
Partout nos drapeaux sont vainqueurs
Le Stathouder a pris la fuite
Nous abandonnant ses vaisseaux
Et la Terreur marche à sa suite
Digne compagne des bourreaux
La révolution mon fils
Si t’as quelque chose entre les cuisses
C’est un devoir, non pas un sacrifice
Après deux siècles de sursis
La saloperie refait surface
La Royauté n'est plus ici
Mais la bourgeoisie la remplace
Quand ça va bien ça ne va qu’un temps
Le peuple atténue ses grimaces
Et s’qu'on appelle gouvernement
Fait régner la lutte des classes
Une remise en question mon fils
Si sans-culottes n’est pas factice
C’est ton devoir d’appliquer la justice
Réveille-toi, peuple de frères
Et frappe ces affreux tyrans
Qui, sans pitié de ta misère
Te font languir, toi, tes enfants
Réveille-toi, je le répète
De la foudre arme ton bras
Elle gronde déjà sur leur tête
Et bientôt elle les écrasera
La révolution mon fils
Si t’as quelque chose entre les cuisses
C’est un devoir, non pas un sacrifice
Une remise en question mon fils
Si sans-culottes n’est pas factice
C’est un devoir d’appliquer la justice
Appliquons la justice
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